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En réalité, nous devons le réseau social moderne à plusieurs petites innovations qui sont intervenues en cours de route et qui ont débuté au milieu des années 1990. Certes, Myspace et Facebook ont beaucoup fait pour définir le réseau social moderne. Le réseau social d’aujourd’hui et le rapport que nous entretenons avec est le fruit d’améliorations dues à une concurrence de plus en plus féroce entre ces « nouveaux » du numérique. Les recentes années furent marquées par un certain nombre de scandales impactant négativement les social medias : violation de la vie privée, exploitation des données à des fins vues, impact sur la santé mentale des utilisateurs. Oui, vous avez bien entendu, « santé mentale ». En même temps, lorsque vous discutez sur Messenger avec un ami, la mention « Vu » renseignant que vous avez vu et lu le message n’est-elle pas la chose la plus irritante et intrusive qui soit ? Je suis sûr qu’un de vos amis vous a déjà sorti : « Et mais pourquoi tu ne réponds pas sur Messenger ? C’est marqué que tu as vu mon message ! ». Rien de tel pour se sentir « prisonnier » du réseau social. L’avenir des social medias doit être motivé par des innovations qui nous aident à combattre les atteintes à la personne et les mauvaises routines. Réduire les abus, les fakes news, le spam.
quotidiennement, nos agissemements sont influencés par les normes sociales qui nous entourent. En agissant selon les normes sociales, l’individu agit en conformité avec les agissemements les plus consensuels et ainsi reçoit de l’approbation de son groupe. Qu’est-ce qui influence la conduite ? Nous distinguons trois facteurs qui influencent la conduite des personnes : Les talents intrinsèques. Les compétences et possibilités assimilées avec le temps. L’environnement dans lequel se trouve la personne. On peut ainsi dire que la société lutte contre la nature de l’homme n14, puisqu’elle inhibe sans cesse ses instincts. par ailleurs, la société fait connaître à l’homme qu’il faut suivre des règles, ce qui fait que toute spontanéité y est brimée. La société est donc un phénomène culturel qui transforme la nature de l’homme. Quels sont les processus de l’influence sociale ? La facilitation sociale, la comparaison sociale, la régulation, le conformisme, la requête à l’autorité et les processus d’influence majoritaire et minoritaire sont des formes d’influence. Les cinq premiers sont des pressions exercées de la part de la société en direction du groupe et l’individu. On peut ainsi dire que la société bataille contre la nature de l’homme n14, puisqu’elle inhibe sans cesse ses instincts. de plus, la société fait connaître à l’homme qu’il faut suivre des règles, ce qui fait que toute spontanéité y est brimée. La société est par conséquent un phénomène culturel qui transforme la nature de l’homme. Quels sont les process de l’influence sociale ? La facilitation sociale, la comparaison sociale, la normalisation, le conformisme, la demande à l’autorité et les processus d’influence majoritaire et minoritaire sont des formes d’influence. Les cinq premiers sont des pressions exercées de la part de l’entreprise en direction du groupe et l’individu.
En pleine campagne présidentielle aux USA, il part à la « découverte des gens » en en fonction de un groupe de 600 électeurs du comté d’Erié dans l’Ohio. Durant cette enquête, il prouve que le vote n’est pas seulement un choix individuel mais qu’il existe des variables liées au… réseau social de l’individu. On découvre que les réseaux amicaux et les milieux familiaux sont globalement homogènes dans leurs choix politiques. Pour la première fois sont évoqués les opinion leaders dans une théorie de l’influence interpersonnelle. Leurs particularités pourraient être une forte sensibilisation aux réseaux et une capacité de reformulation des missions vues dans les négoces quotidiens. Ils ont donc un rôle d’intermédiaire, de facilitateur, de relais. Un pas est dès lors franchi dans l’étude des réseaux : la visibilité n’est pas unidirectionnelle et directe vers un récepteur passif, elle est à deux étages et se déroule en deux temps, via des relais d’information ( the two-step flow of communication ). Puis dans Personal Influence proposé en 1955, il en ressortira que les relations interpersonnelles sont supérieures aux médias dans les actes de décision. En somme, les théories de la seringue hypodermique et de médias ultra-puissants deviennent obsolètes. Les effets des réseaux sont indirects et limités par les capacités d’évaluation des individus et leur réseau social.
il y a peu d’estimations fiables de la taille de des influenceurs. L’une d’entre elles, réalisée en 2020 par le Bureau national des statistiques de Chine, où les influenceurs ont acquis une certaine notoriété plus tôt qu’en Occident, estimait sa contribution à l’économie à 210 milliards de dollars, soit 1, 4 % du PIB. Comme pour tout ce qui touche au numérique, la pandémie semble lui avoir donné un coup de fouet, puisque d’autant plus de personnes étaient rivées à leur smartphone pendant une plus grande partie du temps. L’écosystème des influenceurs remet en question les principes traditionnels de la gestion des marques de collection. En plus d’être unidirectionnelles, les campagnes ont eu tendance à être standardisées, immuables et chères. Un groupe exclusif d’actrices claires pourvues de pommettes de la bonne forme était censé signaler la constance, ainsi que l’opulence. Le même sourire sur la même photo de la même vedette hollywoodienne devait inciter les gens de passage à acheter un produit pendant de nombreuses années. Julia Roberts et Natalie Portman sont chacunes depuis une décennie les visages des parfums La Vie est Belle de Lancôme et Miss Dior. Les stars comme les marques ne pensent pas combien d’argent change de mains, mais les sommes se chiffrent en centaines de milliers de dollars. Selon un rapport, le montant dépensé par LVMH pour l’ensemble de la campagne Miss Dior s’élève à “moins de 100 centaines de milliers de dollars” l’an dernier.
Si vous utilisez les social medias uniquement pour pousser de la publicité, de la promotion, des placements d’articles ou autres vous ne retirerez pas une grande efficacité des social medias. Cela apparait logique par rapport au base de base : parler avec sa communauté. Des publications centrées uniquement sur de la pub / promo vont désintéresser votre audience et vous éloigner d’elle. Cela n’empêche pas de mettre en avant ses produits et son travail mais dans un situation différent de la publicité, avec un angle indicatif, d’interaction. Pour faire de la publicité il existe des espaces destinés comme Facebook ads ou Instagram ads. Ils permettent de mettre en valeur ses produits et son travail avec des annonces individualisés et sponsorisées. Si vous verifiez Instagram et Linkedin arriverez dans deux mondes différents. En effet Instagram a un audimat large, il est plutôt orienté B2C, il est basé sur l’image ( bien qu’il ne faille pas négliger le contenu ), tandis que Linkedin a un audimat plus ciblée “professionnels”, il est orienté b2b et nécessite des contenus plus textuels pour communiquer. Certains réseaux peuvent d’avoir des fonctions plutôt passives ou ciblées comme par exemple Twitter, souvent utilisé pour de l’information, Linkedin très orienté b2b, Instagram sur lequel on va souvent suivre des marques, Pinterest pour chercher des visuels ou de l’inspiration, Youtube pour des films et de la vidéo, etc.
Certains nouveaux coffrets, comme les REELS sur Instagram, ont été ajoutés pour concurrencer TikTok et donnent la possibilité de créer un contenu viral. Attention, pour que votre contenu devienne viral ou qu’il ait simplement une parfaite portée organique, il faut qu’il soit de qualité. Ce qui est véritablement important quand vous investissez du revenu publicitaire dans la gestion de vos social medias, c’est de pouvoir mesurer votre retour sur investissement. N’hésitez pas à prendre le temps de paramétrer convenablement l’accompagnement des conversions afin d’être en mesure de savoir exactement combien vous a raconté la publicité. Vous n’avez pas le temps de poster sur les social medias de façon régulière. Les plateformes sociales ( et vos abonnés ) aiment suivre des comptes dont les contenus sont mis à jour fréquemment. il convient de donc choisir une fréquence ( comprise entre 1 fois par semaine et 3 fois par 24h selon votre secteur d’activité et l’attrait de votre marque ) et ne pas le dépasser. Si vous publiez tous les jours pendant un mois, que vous arrêtez pendant 2 mois etc. Cela fera beaucoup de dégâts que de bien à votre marque. Vous n’êtes pas en mesure de fournir du contenu de qualité. Si votre contenu est un contenu de basse qualité, je vous recommande particulièrement de ne rien poster et de déposer le travail à un professionnel qui connait les codes des différents réseaux et qui pourra réaliser du contenu qui va attirer les utilisateurs. Voici quelques exemples de contenu de basse qualité.
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